Au début était l’AMOUR... L’amour de la musique, cela va de soi ! Quoique, si ce n’était cette violente hétérosexualité exacerbée qui les habite, ces 2 fringants bipèdes auraient sûrement emprunté des voies qui ne sont point impénétrables, mais je suppute.
Donc, en ce jour de l’an 2 après LORIE, alors que les conduits génito-urinaires de Pamela Anderson sont aussi encombrés que le périf aux heures de pointe, alors que la sclérose en packs de 12 déferle sur les ondes et a entamé ce processus irréfragable de néantisation des cerveaux estomacs, voilà ti pas que déboule ce tsunami sociétal, ce salmigondis tellurique aux relents de fin du monde aseptisé, formaté dont au sujet duquel il est urgentissime de déployer une fin de non recevoir et qu’il faut noyer dans un ultime flot d'irrévérences et de désacralisation au napalm un peu comme une portée de chiots surnuméraires, mais je m’égare.

Donc, et comme disait CONFUCIUS ou CHANTAL GOYA, je ne sais plus : « il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas» Et c’est, dans le grand bazar de la vie, que ces 2 êtres, finirent par se croiser. L’un astiquait son manche, l’autre tirait fort sur son crayon, le choc fut frontal, force 10002 sur l'échelle de Richter.
Bilan : beaucoup d’éclats de rire et quelques chansons, quelquefois maladroites mais toujours écrites avec passion.

Certes, au départ, les morceaux constituaient un pendant idéaliste, une lecture romantique des aléas et des états d'âme, mais, un beau jour, accidentellement, comme ces fois où l’on oublie son pack de spermicides ou de prendre la pilule, jaillit de l'entre fond de leurs âmes tourmentées, la 1ere chanson des SUMERI :
TOMBATI !

On peut d’ores et déjà alléguer, que les Sumeri sont le fruit d’une union spontanée et résultent d’une couille au niveau contraceptif et comme nous sommes contre l’avortement !

Voilà, que dire de plus sans vous lasser, nous vous invitons à mieux nous connaître à travers ce site très bien achalandé et très bien réalisé par EL SIGNOR TAMAGNA OLIVER, bravo mon gars tu as gagné tes galons d’âne castré.

PS : Longtemps ignorés, toujours traités avec condescendance, nous avons appris l’humilité et la futilité de toute chose, cependant, jamais oh grand jamais, notre passion a été entamée, elle est toujours restée intacte, comme un joyau d’une infinie pureté. Là encore, perséverer a été payant, puisque, au moment où l’on s’appretait à jeter une ennième maquette à la mer, est apparu, à l’horizon Sumerien, notre phare, notre faisceau dans la nuit, notre cicérone dans cet océan musical impitoyable :
LOUIS RUTHREFORD - GLORIA A TE LOUIS ! !

Tu as réalisé notre rêve de môme, puissions nous êtres dignes de ta confiance.

LES SUMERI...